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Théorie de la personnalité de type A et de type B
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Théorie de la personnalité de type A et de type B

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La personnalité de type A a été définie par Meyer Friedman (en) et Ray Rosenman en 1959 comme une conduite caractérisée par une hyperactivité, un sentiment d'urgence, un énervement facile, ou un hyper-investissement professionnel. Le type B se définit en opposition à ces comportements.

Type A

L'individu au comportement de type A se caractérise par le besoin de contrôler son environnement afin de réduire son incertitude. Ces attitudes augmentent les risques de vivre des conflits interpersonnels. Souvent, il place la barre haut : il a des exigences élevées tout en manifestant un sens de l'autocritique très poussé envers ses accomplissements. On dénote des attentes irréalistes de perfection incompatibles avec le droit à l'erreur (croyance irrationnelle établie par Ellis).

Ces sujets semblent avoir un risque de maladies cardio-vasculaires (notamment l'insuffisance coronarienne avec un risque d'infarctus du myocarde) multiplié par deux par rapport aux personnalités normales.

Le risque est plus élevé s'il y a une coexistence avec d'autres facteurs de risque tels que le tabagisme, l'hypertension artérielle, l'obésité, etc..

Type B

La personnalité de de type B se définit en contraste à la personnalité de type A. Ainsi le modèle de personnalité A-B est un continuum où l'on se positionne relativement au type A.

L'hypothèse décrit les individus de type B comme un contraste de ceux de type A. Les personnalités de type B, par définition, vivent à des niveaux de stress inférieurs. Ils travaillent généralement de manière régulière et peuvent apprécier la réussite, bien qu'ils aient une plus grande tendance à ignorer le stress physique ou mental lorsqu'ils ne réussissent pas. Lorsqu'ils sont confrontés à la concurrence, ils peuvent se concentrer moins sur la victoire ou la défaite que leurs homologues de type A, et davantage sur le plaisir du jeu, qu'ils gagnent ou perdent.

Les personnes de type B sont également plus susceptibles d'avoir une moins bonne perception du temps. Ces individus sont plus tolérants que ceux de de la catégorie de type A.

Les individus de type B peuvent « [...] voir les choses d'un point de vue global, encourager le travail d'équipe et faire preuve de patience dans la prise de décision [...] ».

Bibliographie

  • (en) K.A. Matthews, « Psychological perspectives on the Type A behavior pattern », Psychological Bulletin, no 91 (1982), p. 293-323.
  • (en) T.Q. Miller, C.W. Turner, R.S. Tindale, E.J. Posavac & B.K. Dugoni, « Reasons for the trend toward null findings in research on Type A behavior », Psychological Bulletin, no 110 (1991), p. 469-485.
  • Karen Huffman (trad. Sébastien Bureau, Alain Huot, Luce Marinier), Psychologie en direct, Montréal, Groupe Modulo, , 4e éd., 364 p. (OCLC 893601806), p. 69

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